El Dorado (Marcel L'Herbier, 1921) DVDRip VOSE

[Fitzcarraldo]

In the book Alain Resnais, author James Monaco cites a comment by the filmmaker on Last Year at Marienbad that his idea for the film was to "renew a certain style of the silent cinema", for which Monaco expounds that this overarching vision contributed to the film's multifaceted syntax that "any particular shot can be read as either present tense, past tense, conditional or subjunctive, or pure fantasy. This too is realism, but of a different sort... Robbe-Grillet called it 'mental realism'." It is within this context of creating mental realism, a hermetic, immersive sensorial experience that seems to exist solely in the personal realm of human perspective - a figment of the imagination - that the seminal influence of Marcel L'Herbier's El Dorado may be seen in Resnais' realization of Last Year at Marienbad. Tactile, voluptuous, and otherworldly, the ornate, impeccable architectures and visual geometry of the cabaret El Dorado and the clandestine meeting grounds of the desolate L'Alhambra also reflect this elaborately conceived imaginary construction, a meticulously rendered, but irresolvable fictional aesthetic that is similarly manifested in the baroque interiors and mise-en-scène of Last Year at Marienbad and invariably serve as an essential projection of the characters' own psychological reality and unarticulated desire: a sickly, illegitimate child is confined to a Spartan room adorned with a large cross, a constant reinforcement of his seemingly incurable illness and near death; the smoke-filled, unbridled hothouse of El Dorado, visually distorted under the influence of the patrons' intoxication and lust for the cabaret's feature performer, Sibilla; the recollection of a seduction and ill-fated love affair appears clouded and unfocused, sentimentally diffused by years of estrangement, frigidity, and fading memory; an artist pining for his lover envisions her materialization in the symmetric framing of an arcing fountain, in essence, a figurative mental projection of ephemeral desire onto physical architecture. The influence of L'Herbier's stylistic subversion of melodrama through plot distillation and integration of metaphoric imagery is also evident in Resnais' fractured narrative and metamorphosing imagery, introducing archetypal characters that eschew human complexity in favor of representational acts (note the denouement that occurs behind a translucent stage backdrop, creating a grotesque superimposition of spasmodic shadows). It is this narrative compression through the integral conflation of performance and mise-en-scène that inevitably defines the bold, idiosyncratic spectacle of El Dorado, a film in which the tale of the human condition is revealed, not through expressed character insight, but through the loaded imagery of evocative gestures and malleable architecture.

El.Dorado.(1921.-.Marcel.L'Herbier.-.restored.1995.-.DVDRip).avi

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Interview.(1968).with.Eve.Francis,.Marcel.L'Herbier.and.Marius-François.Gaillard.on.the.film.El.Dorado.-.french.-.2'27.minutes.AVI

Interview.(1974).with.Eve.Francis.and.Marcel.L'Herbier.on.the.film.El.Dorado.-.french.-.7'50.minutes.AVI


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Prométhée... banquier (M. L'Herbier, 1921) (FRA).avi

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[marlowe62]

El Dorado
(Eldorado)
(Francia, 1921) [B/N, 100 m. muda]
IMDb

Ficha técnica.
Dirección: Marcel L'Herbier.
Guión: Marcel L'Herbier, Dimitri Dragomir.
Fotografia: Georges Lucas, Georges Specht.
Música: Marius-François Gaillard.
Vestuario: Alberto Cavalcanti.
Decorados: Louis Le Bertre, Robert-Jules Garnier y Jaque Catelain.
Productora: Gaumont, série Pax.

Reparto: Eve Francis (Sibilla), Jaque Catelain (Hedwick), Marcelle Pradot (Iliana), Philippe Hériat (Joao, le bouffon), Claire Prelia (La comtesse suédoise), Georges Paulais (Esteria), Édith Réal (Conception), Max Dhartigny (Le patron de l'El Dorado), Émile Saint-Ober (L'aveugle), Jeanne Bérangère (Flore).

Sinopsis. Una bailarina española que dedica todo lo que hace en la vida al bien de su enfermizo hijo, ama en secreto a un pintor escandinavo prometido a una acaudalada española. La bailarina decide entregar su hijo a la pareja para suicidarse después de haber sufrido la violación de un hombre al que no deseaba.

Comentario: En esta búsqueda de nuevos modos de expresar emociones e ideas a través del cine, surgieron obras personales como Fiebre, de Louis Delluc y El dorado, de Marcel L’Herbier, ambas realizadas en 1921, junto a algunas de Jean Epstein y Germaine Dulac. Un mal llamdo Impresionismo cinematográfico que vino a renovar la cinematografía francesa y por extensión a la europea junto a la vanguardia más radical. (bluegardenia, Filmografía Cine Mudo)

L'El Dorado est une maison de danse, un «baile» andalou, dont Sibilla est l'une des vedettes. Mais ce soir, elle a la tête ailleurs. Tandis qu'elle effectue son numéro sous le regard scrutateur des clients et de João, son garçonnet délire dans une chambre à l'étage. Sitôt son numéro achevé, Sibilla le rejoint pour le réconforter. Elle retrouve une lettre du père de l'enfant, un riche veuf qui, douze ans plus tôt, lui avait promis le mariage. La santé de l'enfant se dégrade : Sibilla lui écrit une lettre pour le supplier de leur venir en aide. Mais Estiria, qui prépare le mariage de sa fille avec un duc décavé, est bien décidé à renier son passé et à ignorer Sibilla. Dans la sierra voisine, Hedwick, un jeune peintre, vit dans une maison retirée, en compagnie de sa mère, une comtesse scandinave. Il vient à l'Alhambra retrouver Sibilla qui, pour gagner quelque argent, lui sert de modèle et de guide. Mais le jeune artiste n'arrive pas à se concentrer sur son travail, troublé par le souvenir de la jeune fille, dont il est tombé amoureux. Celle-ci s'enfuit de chez elle avec la complicité de sa duègne et retrouve secrètement Hedwick à l'Alhambra. Sibilla, qui les a espionnés, reconnaît dans Iliana la fille d'Estiria. Elle décide de se rendre chez lui pour sauver son enfant. Elle trouve une maison bruissante de monde, agitée par la fête des fiançailles d'Iliana avec le duc d'Ormiz. Chassée sans ménagement par Estiria qui prétend ne pas la connaître, Sibilla décide de se venger. Elle enferme Hedwick et Iliana dans une salle de l'Alhambra, empêchant ainsi la jeune fille de se rendre à ses fiançailles. Au matin, elle libère le couple et leur dévoile sa relation passée avec Estiria. Réfugiée chez elle, Iliana devient une véritable sœur pour le jeune garçon malade. Après avoir vainement tenté d'obtenir la main d'Iliana auprès de son père, Hedwick décide d'emmener promise et enfant malade chez lui, au grand air. Restée seule, Sibilla écrit une lettre à la mère d'Hedwick pour lui demander de prendre bien soin de son enfant avant de se suicider avec un poignard. (Monsieur Cinéma)

Anecdote. Les extérieurs d'EL DORADO furent entièrement tournés en Andalousie au printemps 1921. Marcel L'Herbier reçut l'autorisation exceptionnelle de tourner trois semaines à l'Alhambra de Grenade et en profita pour installer aussi ses caméras à Séville (procession de la Semaine Sainte) et dans la Sierra Nevada (maison d'Hedwick). Le choix de l'Espagne n'était pas un hasard. « EL DORADO était bien cet hommage indirect mais indiscutable que mon admiration d'adolescent et d'adulte devait rendre aux mérites exemplaires du magistral Barrès », écrira Marcel L'Herbier (in "La Tête qui tourne". Éd. Belfond, 1979), très marqué, comme toute sa génération, par l'auteur de « Du Sang, de la volupté et de la mort ». Innovation pour l'époque : pour sa sortie au Gaumont-Palace, le 28 octobre 1921, le film fut accompagné par une partition musicale spécialement commandée au compositeur Marius François Gaillard. Dans son "Défense et illustration de la musique de film" (SERDC, 1963), Henri Colpi relate l'expérience qui avait alors été tentée : l'installation d'un appareil qui permettait, dans certaines conditions, de régler la vitesse de défilement de la pellicule afin de mieux synchroniser images et sons. EL DORADO a été restauré en 1995 par le CNC, sous la direction de Pierre Philippe et de Philippe Esnault.
(c) Images et Loisirs 379 / 10

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Subtítulos (descarga directa): castellano / castellano / inglés.
Subs en castellano, traducidos por Federico1921 (Hilo DXC).

Datos técnicos:

Código: Seleccionar todo

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Filesize.....: 693 MB (or 710,477 KB or 727,528,570 bytes)
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Captura:

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Análisis: El Dorado (1921) di Marcel L'Herbier, CineRepublic. (en italiano)
Carteles: LES FORFAITS DE MARCEL L'HERBIER

Saludos.